Protégez sa famille, tout le monde y pense. Pourtant comment faire quand on démarre dans la vie ?

Pensez prévoyance ! La vraie question (que tout le monde n’aime pas se poser), c’est : « suis-je assuré en cas de décès ? » Souvent quand on est jeune, on n’y pense pas…

 

En effet, aujourd’hui, vous avez la possibilité de souscrire à des assurances décès / invalidités permettant de garantir une somme à votre famille en cas de malheur.

Nota : Plus vous la souscrivez jeune, moins elle vous coûtera cher

 

Dans les faits, comment ça fonctionne ?

 


Conditions d’adhésion


Il ne faut pas avoir une santé fragile.

Toutes les compagnies d’assurances cherchent à savoir votre état de santé au moment de la signature du contrat.

Si vous être quelqu’un de jeune (et en pleine forme), et que vous demandez un faible capital en cas de décès, vous n’aurez qu’à signer une attestation de bonne santé.

En revanche, si vous avez plus de 45 ans, l’assureur vous demandera généralement de répondre à un questionnaire médical très détaillé. Si l’assureur vous considère comme une personne à risque, elle pourra parfois vous faire suivre une batterie de tests pour déterminer au mieux votre état de santé.

Si vous refusez de vous y soumettre, la compagnie refusera généralement de vous assurer.

 

NOTA : Ne vous amusez pas à mentir sur votre réel état de santé, en effet, si l’assureur s’en rend compte, votre bénéficiaire ne percevra pas la somme pour laquelle vous vous étiez assuré. L’assureur refuse tout simplement de verser le capital.

 


Cas d’exclusion


Certaines activités et circonstances sont exclues des contrats d’assurances décès. La liste des cas d’exclusion varie d’un contrat à un autre. Cependant, les sports à risque tel que le parapente, la plongée, etc sont souvent des cas d’exclusions.

Figurent également dans les cas d’exclusions, les faits volontairement provoqués par l’assuré.

Pour obtenir la liste totale des exclusions de votre contrat, demandez-en une copie à votre assureur.

 


Les types de contrats


Il existe deux types de contrats :

  • Contrat « temporaire décès » : (85% du marché, généralement considéré comme à fonds perdu). Le souscripteur paye une prime annuelle, trimestrielle ou mensuelle, et si son décès se produit pendant la période couverte, l’assureur verse le capital au bénéficiaire.

Si l’assuré cesse de s’assurer ou atteint l’âge limite de garantie (de 65 à 75 ans suivant les assureurs), l’assuré est radié et l’assureur conserve les sommes versées.

 

  • Contrat « vie entière » : Ce contrat fonctionne un peu comme une assurance-vie. Les cotisations versées reviennent au bénéficiaire quelle que soit la date du décès. Les versements sont également récupérables à tout moment par le souscripteur du contrat en totalité ou en partie.

 


La fiscalité


Le bénéficiaire se retrouve-t-il taxé lorsqu’il reçoit le capital ?

Le capital versé échappe = à l’impôt sur le revenu et aux droits de succession, et cela quels qu’en soient le montant ou les bénéficiaires.

Cependant attention : les primes payées par l’assuré dans l’année de son décès sont considérées par Bercy comme de l’épargne. Elles seront taxées à 20% si le souscripteur du contrat décède avant ses 70 ans et si le bénéficiaire du capital perçoit aussi de la part du défunt plus de 152. 500 euros d’assurance vie.

Si le souscripteur décède après 70 ans, ces dernières primes seront soumises aux droits de succession, sauf, dans les deux cas, pour le conjoint ou le partenaire de Pacs, puisqu’ils sont exonérés de droits sur tous les biens reçus par succession.

 

Protégez ses proches coûte souvent moins cher qu’on ne le pense. Alors renseignez-vous et protégez-les.

N’hésitez pas à nous contacter !


Votre plus grand actif est en vous !

Alors n’attendez plus ! Investissez en vous !